À ne pas confondre avec Ordo naturalis, un regroupement d’organismes autrefois utilisé en biologie

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En philosophie, l’ordre naturel est la source morale dont la loi naturelle cherche à tirer son autorité. L’ordre naturel englobe les relations naturelles des êtres entre eux en l’absence de loi, que la loi naturelle tente de renforcer. Ceci est lié au karma. En revanche, le droit divin cherche à obtenir l’autorité de Dieu, et le droit positif cherche à obtenir l’autorité du gouvernement.

Le terme est utilisé par Hans-Hermann Hoppe dans son livre, Democracy : The God That Failed : L’économie et la politique de la monarchie, de la démocratie et de l’ordre naturel, pour défendre l’anarcho-capitalisme.

Le terme est utilisé par Friedrich Hayek dans ses écrits.

Les Physiocrates, un groupe de philosophes français des Lumières du 18e siècle, avaient une foi ferme dans la philosophie de l’ordre naturel. Selon eux, il s’agit d’un ordre idéal donné par Dieu, qui permettait aux êtres humains de vivre ensemble dans une société idéale. Les lois naturelles sont l’expression de la volonté de Dieu. Ainsi, les hommes ne se sont pas réunis par le biais d’un « contrat social » quelque peu arbitraire. Ils ont plutôt dû découvrir les lois de l’ordre naturel qui leur permettraient de vivre en société sans perdre d’importantes libertés.

L’ordre naturel visait à assurer le plaisir du peuple, et à augmenter les droits du peuple sans imposer de restrictions à sa liberté. Les physiocrates croyaient que l’ordre naturel maintenait l’équilibre de la nature. Le concept d’ordre naturel a produit certains résultats pratiques importants. Il impliquait que c’est seulement dans des conditions de liberté que l’homme peut jouir du maximum de bonheur et tirer le maximum d’avantages en matière économique.

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