L’influenceuse russe Miroslava Duma – qui fait partie de la cuvée originale de stars du style de rue qui s’est élevée au milieu des années 2000 – a déclaré dimanche sur Instagram qu’elle avait failli mourir cette année d’une « maladie pulmonaire rare. » Elle a déclaré qu’on lui avait donné sept mois à vivre. On ne sait pas quand elle a reçu le diagnostic, ni si elle est toujours malade ou non, bien qu’elle ait écrit : « C’était follement effrayant à l’époque, mais en regardant en arrière, je réalise que les derniers mois de rétablissement ont probablement été les mois les plus heureux de toute ma vie. »
Dans une longue légende, Duma a écrit que sa maladie lui a fait réévaluer sa vie en tant qu’influenceuse et rédactrice. « Toute ma vie, j’ai cherché l’approbation et j’étais obsédée par les « likes », tant dans le monde physique que dans le monde virtuel, sans réaliser qu’en réalité, je devais d’abord apprendre à m' »aimer ». Des années d’autocritique et de doute, de stress, de régimes, de poussées physiques, mentales et émotionnelles ont fait s’effondrer mon système immunitaire et je me suis rendue mortellement malade. »
Cette annonce peut surprendre tous ceux qui suivent Duma depuis longtemps. Elle a continué à poster régulièrement, principalement sur ses vacances, ses enfants et son entreprise de mode durable, Future Tech Lab. Mais il y a eu des changements subtils. Elle ne parle plus des Fashion Weeks (bien que cela puisse être dû aux récents scandales). Elle s’est rendue aux manifestations de l’Extinction Rebellion à Londres au lieu des défilés, et ces jours-ci, vous êtes plus susceptibles de trouver une photo de Greta Thunberg sur sa page qu’un cliché de style de rue.
Duma a écrit qu’elle avait changé de mentalité et ne se souciait pas tant des likes ou de la validation externe. « La vie est mesurée par ma propre santé et la santé de ceux que j’aime. Elle se mesure à la façon dont je choisis de contribuer au monde », a-t-elle déclaré. Elle a terminé sa note en remerciant tous ceux qui font partie de sa vie avec « tout mon cœur (et mes poumons) »
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