Parfois, j’ai l’impression que marcher pieds nus sur la terre et m’allonger sur l’herbe avec mon visage au soleil est la chose la plus spirituelle que je puisse faire. Parce que vous faites partie de ce monde, de cette expérience, lisez ces citations de Mère Nature. Elles donneront vie à votre cœur sauvage.
« Les arbres ne forcent pas leur sève, et la fleur ne pousse pas sa floraison. » – Rainer Maria Rilke
Prenez quelques minutes pour trouver vos citations préférées de Mère Nature.
Comment pouvez-vous passer un peu plus de temps dehors aujourd’hui ? Dix minutes, même deux, pourraient vous remonter le moral.
1. « Nous avons tous une soif d’émerveillement. C’est une qualité profondément humaine. La science et la religion y sont toutes deux liées. Ce que je veux dire, c’est qu’il n’est pas nécessaire d’inventer des histoires, il n’est pas nécessaire d’exagérer. Il y a suffisamment d’émerveillement et d’admiration dans le monde réel. La nature est bien meilleure que nous pour inventer des merveilles. » – Carl Sagan
2. « Les moments de solitude avec Mère Nature sont du soleil pour une âme. » – Anthony Douglas Williams
3. « Les miracles ne brisent pas, en fait, les lois de la nature. » – C.S. Lewis
4. « La femme sauvage a un amour profond de la nature, un amour pour l’ancienne mère. Bien que peut-être incompris, il a toujours été en elle. Quand elle va dans la nature sauvage, une partie de son âme rentre à la maison. » – Shikoba
5. « Et n’oubliez pas que la Terre se réjouit de sentir vos pieds nus et que les vents ont envie de jouer avec vos cheveux. » – Kahlil Gibran
6. « Nous savons que nous sommes faits de cette terre. Nous savons que cette terre est faite de nos corps. Car nous nous voyons et nous sommes la nature. Nous sommes la nature, voyant la nature. La nature qui pleure. La nature parlant de la nature à la nature. » – Susan Griffin
7. « Nous oublions souvent que nous sommes la nature. La nature n’est pas quelque chose de séparé de nous. Ainsi, lorsque nous disons que nous avons perdu notre lien avec la nature, nous avons perdu notre lien avec nous-mêmes. » – Andy Goldsworthy
8. « Marchez comme si vous embrassiez la terre avec vos pieds. » – Thich Nhat Hanh
9. « Nous devons nous réveiller et tomber amoureux de la Terre. Notre bonheur et notre survie personnels et collectifs en dépendent. » – Thich Nhat Hanh
10. « Lorsque nous guérissons la terre, nous nous guérissons nous-mêmes ». – David Orr
11. « Ceux qui habitent, en tant que scientifiques ou profanes, parmi les beautés et les mystères de la terre ne sont jamais seuls ou las de la vie. Quelles que soient les vexations ou les préoccupations de leur vie personnelle, leurs pensées peuvent trouver des chemins qui mènent au contentement intérieur et à une excitation renouvelée dans la vie. Ceux qui contemplent la beauté de la terre trouvent des réserves de force qui dureront aussi longtemps que la vie. » – Rachel Carson
12. « Il n’y a pas de meilleur designer que la nature ». – Alexander Mcqueen
13. « Étudiez la nature, aimez la nature, restez près de la nature. Elle ne vous fera jamais défaut. » – Frank Lloyd Wright
14. « La poésie de la terre n’est jamais morte ». – John Keats
15. « Les matériaux de la richesse sont dans la terre, dans les mers, et dans leurs productions naturelles et sans aide. » – Daniel Webster
16. « Le monde naturel est la plus grande communauté sacrée à laquelle nous appartenons. Être aliéné de cette communauté, c’est se démunir de tout ce qui fait de nous des êtres humains. Porter atteinte à cette communauté, c’est diminuer notre propre existence. » – Thomas Berry
17. « Trouver les éléments universels suffisants ; trouver l’air et l’eau exaltants ; être rafraîchi par une promenade matinale ou une flânerie du soir… être ravi par les étoiles la nuit ; s’extasier devant un nid d’oiseau ou une fleur sauvage au printemps – voilà quelques-unes des récompenses de la vie simple. » – John Burroughs
18. « La nature peint pour nous, jour après jour, des tableaux d’une infinie beauté. » – John Ruskin
19. « Jamais la nature ne dit une chose et la sagesse une autre. » – Juvénal
20. « C’est cette terre qui, comme une mère bienveillante, nous a reçus à notre naissance, et nous soutient une fois nés ; c’est elle seule, de tous les éléments qui nous entourent, qu’on ne trouve jamais ennemie de l’homme… bien qu’elle produise le poison, elle fournit encore l’antidote… et quand la vie est finie, elle couvre pieusement ses restes dans son sein. » – Pline l’Ancien
21. « Sortez, sortez, je vous en supplie / Et goûtez à la beauté de la nature sauvage. / Contemplez le miracle de la terre / Avec tout l’émerveillement d’un enfant. » – Edna Jacques
22. « Nous ne voyons pas la nature avec nos yeux, mais avec nos compréhensions et nos cœurs ». – William Hazlitt
23. « Rien de vivant ne devrait jamais être traité avec mépris. Quoi que ce soit qui vive, un homme, un arbre ou un oiseau, doit être touché avec douceur, car le temps est court. La civilisation est un autre mot pour le respect de la vie. » – Elizabeth Goudge
24. « Nous devons apprendre aux gens à aller dans leur arrière-cour, que la vraie guérison est tout autour de nous. » – Margi Flint
25. « Comment était-il possible, me suis-je demandé, de marcher pendant une heure dans les bois et de ne rien voir de digne d’intérêt ? Moi qui ne peux pas voir, je trouve des centaines de choses qui m’intéressent par le simple toucher. Je sens la symétrie délicate d’une feuille. Je passe mes mains avec amour sur la peau lisse d’un bouleau argenté, ou sur l’écorce rugueuse et hirsute d’un pin. Au printemps, je touche les branches des arbres avec espoir, à la recherche d’un bourgeon, premier signe du réveil de la nature après son sommeil hivernal. Je sens la texture délicieuse et veloutée d’une fleur, et je découvre ses remarquables circonvolutions ; et quelque chose du miracle de la Nature m’est révélé. Parfois, si j’ai beaucoup de chance, je pose ma main sur un petit arbre et je sens le frémissement joyeux d’un oiseau en plein chant. Je suis ravi de voir l’eau fraîche d’un ruisseau couler entre mes doigts ouverts. Pour moi, un tapis luxuriant d’aiguilles de pin ou d’herbe spongieuse est plus accueillant que le plus luxueux des tapis persans. Pour moi, le spectacle des saisons est un drame passionnant et sans fin, dont l’action coule au bout de mes doigts.
Parfois, mon cœur crie son désir de voir toutes ces choses. Si je peux obtenir tant de plaisir par le simple toucher, combien plus de beauté doit être révélée par la vue. Pourtant, ceux qui ont des yeux voient apparemment peu. Le panorama de couleurs et d’actions qui remplit le monde est considéré comme acquis. Il est humain, peut-être, d’apprécier peu ce que nous avons et de désirer ce que nous n’avons pas, mais il est très regrettable que dans le monde de la lumière, le don de la vue ne soit utilisé que comme une simple commodité plutôt que comme un moyen d’ajouter de la plénitude à la vie. » – Helen Keller, Trois jours pour voir
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